Description
Bien sûr je compte sur « l’effet pollen », le prosélytisme de ceux à qui parviendra ce premier album de Gérard Ansaloni… Là est la question… Comment leur parviendra-t-il??? Quel média, quel support, permettra aux gourmets, aux gourmands, aux affamés de mots, de notes, d’avoir accès à ce luxuriant « Banquet » dont le sésame n’est offert que par l’écoute. Les voluptés offertes par ce « rap de France » nous laissent « la faim au ventre pour longtemps… »
Pierre BAROUH
Crédits
Musiciens:
Daniel Mille: accordéon
Paola Ansaloni: voix
Maïa Barouh: voix
Guylaine Ansaloni: voix
Pierre Barouh: voix
Paroles & musiques: Gérard Ansaloni sauf (8) Guillaume Appollinaire & Gérard Ansaloni
Enregistrement & mixage: Studio Universal Record (La Varenne) 1995
Ingénieurs du son: Jacques Dompierre, Dominique Bouvier
Programmation: Gérard Ansaloni
Grand ordinateur: Pierre Barouh
Conseiller permanent: Olivier Cacouault
Illustration & conception graphique: Jean Albert Deroudille
Maquette: Gérard Ségard
Mise en page & photogravure: CL2
Presse
Serge Dillaz dans Chorus (1998)
Invitation au partage de l’amitié qui emplit les coeurs du nectar capiteux de la poésie. (…) Ici, la frugalité prend couleur de richesse, les temps rustiques de l’enfance sentent sueur de femmes. Ses vers, déclamés avec la pudeur des véhémences (sur un fond musical où synthé et accordéon croisent parfois un bec de flûte se frottant au duvet des mots), coulent d’un puits sans fond, dans lequel le temps perd la boussole, et où passé, futur se confondent dans l’instant de la transparence.
Alain Rived dans Vinyl (Mai-juin 1998)
Je dois à ce poète authentique la découverte d’une fulgurance et d’un ton nouveau, une attitude impavide face aux lâchetés de toutes sortes, une soif de vivre que rien ne saurait étancher, une folie démesurée qui convoque les grandes instances du désordre de l’âme… « Le Banquet », magnifique d’intelligence, bouleversant, incomparable.
Psikopat (septembre 1997)
Un album poétique-nostalgique… Paroles chantées-parlées sur une musique oscillant entre le joyeux et le tristounet… Ca donne envie de rire en pleurant, et c’est très bien comme ça.
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