Description
Deuxième album de Le Coq, après » La fenêtre » (1999 – Les Messieurs / Nada), » Interludes » est le résultat de deux ans de recherche dans son laboratoire chimique et musical de Nantes. On y retrouve la justesse d’une plume bien trempée dans l’amertume et la poésie du quotidien et des » bandes sons » finement ciselées sous la bienveillance de la fée numérique.
Crédits
Musiciens:
Le Coq: contrebasse, guitares, claviers, samples & voix
Mathieu Pichon: guitare électrique, bruitages électriques (1)
Luc Rambo: batterie, orgue, piano & xylophone
Jean-Yves Merguy: contrebasse (3-5-7)
Paroles & musique: Le Coq
Enregistrement & mixage: Chez Moi Studio 2001
Mastering: Masterlab (Nantes)
Licence par Saravah
Design: Le Coq
Presse
Libération (juillet 2002): «Dans cette lumière entre deux saisons, un univers sensoriel se dévoile où la sueur et les pluies de l’été rythment les appréhensions amoureuses. Serein et inquiet, c’est un disque qui a su trouver son souffle.»
Télérama (septembre 2002) : «Le mélodiste et l’arrangeur compose des climats tour à tour orageux ou tempérés où l’on se glisse avec délice. L’auteur esquisse des amours en points de suspension, des attentes aux donjons des villes, des vies en angles morts. Elliptique séduction.» Trois clés
Magic (septembre 2002): «L’alternance d’instrumentaux qui retiennent pour une fois l’attention avec des compositions chantées, où une voix tout à la fois rassurante et ombrageuse sert parfaitement des textes doux-amers, façonne ces Interludes qui n’ont rien d’un temps mort. Mais le titre est bien trouvé : ce sera toujours dans les interludes, les recoins et les chemins de traverses qu’on fera les découvertes françaises les plus insolites.»
Quelques chroniques du premier album
Les Inrockuptibles: «… Ces chansons composées à même le bois, sont baignées d’une lumière douce et chaleureuse, refusant l’obscurité cache misère des minimalistes, préférant regarder dehors en couleur rosses plutôt que son nombril à la loupe.»
Mix: «Le coq se laisse aller à colorer le terne, gonfler le ventre mou de la modestie en une ambition, histoire d’embellir tout ça pour se convaincre que la torpeur de la routine peut se maquiller en suspense, que l’ennui peut être un moteur.»
Pop News: «… Sa musique nous donne la chaire de poule qu’on a quand un courant d’air fait vaciller une bougie, bref, doucement, sans monter sur ses ergots, prend sa place méritée, un peu à part, dans la basse-cour des musiques d’ici.»
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